C’est la fin d’une success story qui a débuté à New York en 2010, sous l’impulsion d’Adam Neumann et Miguel McKelvey, les fondateurs de WeWork. Valorisé à près de 50 Mds$ en 2019, le géant des bureaux partagés, qui dispose actuellement de 660 établissements dans 119 villes dans le monde, a tutoyé les sommets. Mais il vient de redescendre brutalement sur terre en déposant le bilan lundi soir : « WeWork et certaines de ses filiales ont entamé une procédure de mise sous protection du chapitre 11 (la loi sur les faillites aux États-Unis, ndlr) et ont l’intention de déposer une procédure de reconnaissance au Canada dans le cadre de la loi sur les accords entre entreprises et créanciers », a annoncé le groupe dans un communiqué. La procédure ne concerne pas ses filiales hors des États-Unis et du Canada, a ajouté WeWork, qui estime que ses « opérations mondiales vont se poursuivre, comme d’habitude » (lire notre article).
8 novembre 2023 | 12:00 CET
En France, le « crash » de WeWork soulève plus de questions que de réponses

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